Retour sur l'expertise pour risque grave sur les risques psychosociaux à pôle emploi

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 


24/10/2019


Le secteur Femme vous informe : Revue de presse du 29 Mars

Le secteur femme 29 Mars

Le secteur femme 29 Mars

 

 


29/03/2024
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ASC : Les projets du SNU-FSU de Mars 2024

ASC Mars

ASC Mars

 

 


29/03/2024
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Annonces du Gouvernement : Assurance Chômage, une énième attaque pour les privé.es d'emploi

Annonces

 

 


28/03/2024
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Déclaration du SNU au CSE du 28 Mars 2024

Décla CSE

Déclaration CSE


28/03/2024
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Brutaliser les chômeurs, ultime étape du cynisme politique

Médiapart 1Médiapart 2Médiapart 3Médiapart 4

Source : Article Médiapart du 27 Mars 2024

Article Médiapart

 


28/03/2024
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Pas touche à l'Assurance Chômage !

AC

CP SNU FSU


28/03/2024
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France Travail : à peine né, déjà racketté...

budget

CP SNU FSU


28/03/2024
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OUI CSE (carte culture) : ATTENTION FERMETURE DE LA PLATEFORME LE 31 MAI 2024!

Oui CSE

 

 


26/03/2024
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Le gouvernement sabre 600 millions d'euros dans le budget de France travail!

 

 

La convention d'objectifs de l'agence publique sera votée vendredi en conseil d'administration. La subvention d'Etat est préservée en 2024, mais rabotée de 600 millions sur les trois années suivantes. Soit un quart du budget qui avait été estimé pour la transformation de l'ex-Pôle emploi.

La subvention de l'Etat au budget de France travail a été arrêtée à 1,35 milliard par an de 2024 à 2027.

France travail disposera très bientôt de sa feuille de route pour les quatre années de 2024 à 2027. Plus connue sous l'appellation de convention tripartite - parce qu'issue d'une négociation entre gouvernement, partenaires sociaux et direction de l'ex-Pôle emploi - cette feuille fera l'objet d'un vote vendredi en conseil d'administration. Point majeur, le navire amiral du service public de l'emploi sort indemne du plan de 10 milliards d'économies dans les dépenses publiques en 2024.

La suite s'annonce moins radieuse puisqu'il doit faire une croix sur 600 millions d'euros. Dans sa dernière version débattue vendredi matin (envoyée aux négociateurs la veille à minuit !), le projet de convention tripartite dévoile le montant de la subvention pour charge de service public versée par l'Etat à France travail. Objet d'arbitrages très serrés au sein du gouvernement, elle a finalement été fixée à 1,35 milliard d'euros sur chacune des quatre années de la convention.

Coup de rabot sévère

Cette stabilité masque un coup de rabot sévère par rapport à ce qui était prévu dans la loi de programmation des finances publiques de décembre dernier. Le texte prévoyait bien 1,35 milliard en 2024, 100 millions de plus, ils sont confirmés. Sauf qu'il prévoyait aussi 1,45 milliard, 1,55 milliard puis 1,65 milliard sur les trois années suivantes. En 2025, 2026 et 2027, ce sont donc 100, 200 et 300 millions qui vont manquer à l'appel respectivement, 600 millions en cumulé.

Pour rappel, la subvention pour charge de service public est complétée par la contribution de l'Unédic, calée à 11 % des recettes de l'année N-2 du régime d'assurance-chômage. Cette année par exemple, les deux principales sources du budget de France travail vont lui assurer 6,15 milliards : 1,35 milliard de l'Etat et 4,8 milliards de l'Unédic calculés sur les recettes de 2022, selon ses dernières prévisions financières.

En préservant les crédits de France travail sur 2024 et en dotant la convention tripartite d'une perspective financière pluriannuelle, même révisée, le gouvernement donne de la visibilité à l'opérateur. Le point négatif évidemment, c'est l'ampleur de cette révision : ces 600 millions de moins représentent près d'un quart des 2,5 milliards d'euros attachés au projet France travail lorsqu'il a été bâti. De quoi menacer l'objectif d'Emmanuel Macron d'atteindre le plein-emploi à la fin du quinquennat, a averti le directeur général de l'ex-Pôle emploi, Thibaut Guilluy, dans une interview aux « Echos ».

Tout cela reste à confirmer lors du vote du budget 2025, même si la franche détérioration des comptes publics ne présage pas d'un retour à meilleure fortune. Il faudrait pour cela que la conjoncture s'améliore fortement. Il faudra aussi que France travail démontre que les moyens sur l'aide aux demandeurs d'emploi, bénéficiaires du RSA notamment, pour qu'ils retrouvent un emploi durable, et aux entreprises pour qu'elles comblent leurs postes vacants, rapportent bien davantage que ce qu'ils ont coûté.

À NOTER

Compte tenu de la stabilité de la subvention de l'Etat, la contribution de l'Unédic à France travail s'approche des 80 %.

Alain Ruello

Source : https://www.lesechos.fr/economie-france/social/le-gouvernement-sabre-600-millions-deuros-dans-le-budget-de-france-travail-2084914


26/03/2024
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Nouveautés formation : retour CPNF Janvier/Février 2024

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CPNF Janvier/Février 2024


26/03/2024
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Feuille de route : déclaration du SNU FSU au CSE du 26 Mars 2024

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Déclaration SNU FSU au CSE du 26 Mars


26/03/2024
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Les nouveaux postes en diffusion Mars 2024


25/03/2024
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Gabriel Attal gonfle le « progrès colossal » de sa réforme du RSA !

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40 % des allocataires du RSA bénéficiant d’un « accompagnement rénové » ont trouvé un emploi, vante Matignon. Une communication prématurée car la réforme lancée depuis l’an dernier ne porte que sur un petit échantillon.

 

C’est l’une des réformes majeures du deuxième quinquennat Macron. Le retour à l’emploi des allocataires du RSA, objectif principal de la loi pour le plein-emploi, a été adopté en décembre 2023.

Signe des attentes élevées de l’exécutif, le Premier ministre, Gabriel Attal, s’empresse déjà d’afficher les premiers résultats positifs de cet accompagnement dit « rénové ». Et dont la principale nouveauté est l’obligation imposée aux bénéficiaires du RSA de réaliser 15 à 20 heures d’activités hebdomadaires favorables à leur réinsertion.

Selon le chef du gouvernement, la réforme serait déjà « un progrès colossal ». Le communiqué de Matignon indique que 21 300 allocataires du RSA sont concernés par les nouvelles modalités d’accompagnement dans les 18 départements qui ont testé le nouveau parcours, au sein de bassins d’expérimentation. Et qu’en matière de retour à l’emploi, « 40 % des personnes accompagnées ont accédé à un emploi dans les cinq mois suivant leur entrée en parcours ».

Un échantillon de 4 800 personnes

Or cette présentation est légèrement fallacieuse. Car les statistiques d’accès à l’emploi présentées par Matignon ne sont pas mesurées sur cette base d’allocataires. Sollicité par Alternatives Economiques, France Travail (ex-Pôle emploi) nous précise n’avoir du recul que sur un plus petit nombre de personnes : celles qui sont entrées dans le parcours entre mars et juillet 2023.

Sur cette période, ce sont en réalité 4 677 personnes qui ont démarré un parcours de réinsertion sociale et professionnelle, d’après le tableau de bord de suivi des expérimentations, disponible en ligne. Un petit nombre qui correspond à l’amorçage de la réforme… 

Les 21 300 personnes mentionnées par Matignon couvrent, elles, toutes les inscriptions cumulées jusqu’à février 2024. Trop tôt, donc, pour dresser un bilan quantitatif sur cette masse de personnes.

Quant au pourcentage d’accès à l’emploi, il a été mesuré cinq mois après le début de l’accompagnement. Une proportion qu’il n’est pas possible de vérifier dans le même tableau de bord, car celui-ci a continué d’être mis à jour après les cinq mois de parcours, nous précise France Travail.

A première vue, le chiffre apparaît néanmoins prometteur. Il suggère une remise au travail plutôt rapide pour 4 bénéficiaires du RSA sur 10. Ce qui semblerait cohérent avec la réforme puisque celle-ci prévoit un suivi plus intensif effectué par les conseillers d’insertion.

Une statistique à l’instant T

Cependant, dans la majorité des cas, ces emplois sont courts. Seuls 14 % des emplois retrouvés sont durables (CDD de six mois et CDI). Mais surtout cette statistique n’est que le reflet à l’instant T d’une réforme qui ne bénéficie qu’à un tout petit échantillon.

A peine inscrites au RSA, ces personnes sont déjà accompagnées. Elles bénéficient d’un traitement de faveur si on le compare à la situation globale des allocataires du RSA avant la réforme. Dans son rapport de janvier 2022, la Cour des comptes rappelait que les contacts avec les référents pouvaient parfois être limités à deux ou trois par an, mails compris.

Lors de la généralisation du dispositif, les personnes suivantes bénéficieront-elles de la même intensité d’accompagnement susceptible d’améliorer leurs chances de retour à l’emploi ? Qu’en sera-t-il lorsque sera intégré le « stock » de personnes dépourvues d’emploi depuis des années ?

Si le gouvernement veut tenir la cadence en termes de qualité de suivi, cela nécessitera d’importants investissements en effectifs de conseillers. Et il n’est même pas sûr que ces efforts parviennent à éradiquer l’exclusion du marché du travail d’une partie des allocataires, si l’on considère, comme l’économiste Anne Eydoux, que le problème de fond reste l’absence d’emplois en nombre suffisant.

Pour rappel, fin 2022, 2,1 millions de personnes étaient bénéficiaires du RSA.

« Une expérimentation peut donner de bons résultats en améliorant les chances des personnes accompagnées par rapport à celles qui ne le sont pas. Mais sa généralisation mettra tout le monde en concurrence pour un même volume d’emplois », nous rappelait, dans un précédent article, la maîtresse de conférences en économie du Conservatoire national des arts et métiers (Cnam).

 

Source : https://www.alternatives-economiques.fr/gabriel-attal-gonfle-progres-colossal-de-reforme-rsa/00109991


21/03/2024
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Unanimité syndicale contre la volonté gouvernementale de nouvelles restrictions des droits des demandeurs d'emploi

reforme chomage

Alors que Bruno Le Maire continue à vouloir changer le modèle social du pays (voir Bruno Le Maire a le mérite de la franchise "Cet objectif du plein emploi ne pourra pas être atteint à modèle social constant") en ayant comme cible prioritaire l'étatisation de l'assurance chômage et la réduction des droits des chômeurs (voir Bruno Le Maire se prend vraiment pour le Ministre du Travail en voulant complètement étatiser l'assurance chômage) les cinq secrétaires des organisations syndicales publient une Tribune « Il faut cesser la stigmatisation populiste des chômeurs »

Celle-ci fait un état lucide de la situation "Les multiples réformes combinées ont fait plonger le montant moyen des allocations de 17 % par rapport à 2019 et la durée d’indemnisation de 25 %. Désormais, seuls 36 % des inscrits à France Travail (anciennement Pôle emploi) sont indemnisés, niveau qui n’a jamais été aussi faible ! Quarante-cinq pour cent des allocataires sont passés sous le seuil de pauvreté – un chiffre qui a doublé –, en grande majorité des jeunes, des femmes à temps partiel ou des seniors en fin de droits, sur qui plane maintenant la menace de suppression de l'allocation spécifique de solidarité (ASS). Ces baisses de droits entraînent des excédents annuels à l’Unédic que l’État s’empresse de ponctionner, à hauteur de 12 milliards en trois ans. Et le chômage repart à la hausse…"

La Tribune relève l'incohérence gouvernementale "Les déclarations incessantes de l’exécutif sont en totale contradiction avec le principe, prétendument « de bon sens », brandi en février 2023 : la « contracyclicité » de l’assurance-chômage. « Quand la conjoncture économique s’améliore, on peut limiter les droits des chômeurs, quand elle se dégrade, il faut améliorer les protections. » Un an plus tard, demi-tour toute ! (voir Quand le chômage baisse, il faut durcir les conditions d'indemnisation. Quand il monte aussi !Le changement d'argumentation du gouvernement sur l'assurance chômage suscite l'ironie syndicale et Sacha Houlié demande au gouvernement de "respecter ce que l'on s'est dit" sur la contracyclicité de l'assurance chômage)

Elle poursuit en mettant en évidence que les choix gouvernementaux sont anti économiques L’impact positif des réductions successives de droits à l’assurance-chômage sur le marché de l’emploi n’est pas prouvé. Au contraire. Ce que les études montrent, c’est que les chômeurs sont contraints d’accepter des emplois plus précaires et que l’insertion n’est pas durable. Le but, non assumé par le gouvernement, est bien sûr de faire des économies – les baisses de droits déjà réalisées correspondent à 3 milliards d’économies par an –, pas de créer de l’emploi

En conclusion les responsables syndicaux demandent au gouvernement de renoncer à ses intentions de réforme Nous appelons solennellement le gouvernement à renoncer à cette réforme budgétaire qui rognera à nouveau les droits à l’assurance-chômage et supprimera l’ASS. Il faut cesser la stigmatisation populiste des chômeurs. Au contraire, pour relancer l’économie et la demande intérieure, il faut que les entreprises partagent mieux la richesse créée, augmentent les salaires pour que chacun et chacune puisse se loger, se nourrir et vivre dignement. Pour renouer avec le pacte social, affronter la transition écologique et les enjeux de modernisation, il faut enfin investir dans la formation, les compétences et les qualifications. C’est sur ces enjeux importants que nous attendons le gouvernement.

Y croient-ils vraiment ?

Source : https://blogs.alternatives-economiques.fr/abherve/2024/03/18/unanimite-syndicale-contre-la-volonte-gouvernementale-de-nouvelles-restrictions-des-droits-des-demandeurs-d-emploi


21/03/2024
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